Une motivation initiale…la situation désastreuse en Tunisie :
Depuis fin 2012, un an après la chute du gouvernement Ben Ali en Tunisie (Janvier 2011) et des révoltes du « Printemps Arabe », la situation économique et politique du pays se trouve dans une instabilité critique. L’environnement du pays est délaissé complètement de la part du gouvernement et de la population. Le maintien et la protection de la nature restent en dernière position des priorités du pays.
Ayant redécouvert le pays natal de ses parents, Sinda est revenue déçue…et choquée. Trouvant en Tunisie des zones littorales remplies de déchets et s’y heurtant à une population majoritairement indifférente l’a marqué.
Mais de cette expérience est né un engagement ! Agir, intervenir et remédier au délaissement et à la dégradation de l’espace environnemental est devenu une évidence pour elle.